Ils montaient à bicyclette
La forte côte des Clapas
Lui pédalait largement en tête
Elle peinait cent mètres plus bas.
« Laissez-le donc, tout seul, monter,
Lui murmurai-je en passant,
Avec moi, restez un moment
Juste le temps de vous reposer.
Je vous déclamerai des poèmes
Je vous raconterai des histoires…
_ Les poésies, je les aime,
Quant à votre propos, c’est à voir… »
Mais voyant qu’elle s’attardait,
Le compagnon, en virevolte,
Vint m’expliquer qu’il lui récitait
Des vers de sa propre récolte
Sans s’en douter, il me flattait.
Des mots
Des lettres belles
Enflammées
Sous le ciel modèle
Des silences accrochés
Des regards appuyes
Et le temps
Qui installé l’attente
Je posé, je déposé
Le chemin
Les allées bordées
De fleurs poison
Au parfum envoûtant
De cruelles désillusions
Doux bisous mon Poete
Et to chemin est si beau qu’on s’y perdrait volontiers
Bisous très doux.
Et si le « jaloux « avait choisi un tandem ????
Bonne et belle journée à vous.
Tân
Dernière publication sur chroniques variées : la nouvelle arche de Noé
Ces messieurs sont trop accros aux « performances sportives pour que je propose l’arrêt qui « casserait » son élan.