Quand je sors de la maison,
Sur la montagne qui se dresse
Je jette un regard en rond
Pour voir si le temps presse.
C’est ainsi que, parfois,
Une couleur incongrue
Attire mon œil sur les bois :
Encore une toile perdue,
Encore un parapentiste,
Qui a raté son décollage
Et a terminé sa piste
Dans les arbres du paysage.
Certains dans un grand effort
Trouvent moyen de se dégager
Mais d’autres, dans triste record
Restent des heures accrochés.
Il faut bien souvent l’hélico
Et ses câbles déroulés
Pour les transporter à l’hosto
Après maintes manœuvres déployées.
Eh bah, t’as de l’aventure haute en couleurs dans ta tout aussi haute montagne, je t’envie quelque-part… gentiment
Ici aussi pas mal de parapentistes, car souvent du vent… ils me font peur avec leurs acrobaties et chorégraphies trop risquées.
Lâcher mes ailes
Partir au loin
Garder la hauteur
Et cueillir le ciel
Sentir la Liberté
Effleurer mes yeux
Monter si haut
Caresser les Anges
Comme une ode de fée
Dans un instant perdu…
Bonjour mon Poète
Comment vas-tu?
Doux bisous tout bleus
@Julie: Oui! de l’aventure… Qui fait souvent trembler:
Chaque semaine on voit intervenir les hélicos.
Mais les enfants sont émerveillés en regardant ces grands oiseaux….
bisous
@rêveuse bleue
MAGNIFIQUE!!!!
bisous vol(ants? és?)