Les murgers
Autrefois et depuis des siècles, au printemps, après la fonte des neiges chaque paysan arpentait les champs
qu’il cultivait armé d’un panier.
Non ! Il ne cherchait pas les morilles (quoique… S’il en trouvait c’était fortune) ni d’autres champignons. Ce qui le tracassait, c’était la présence des cailloux qui ébrécheraient sa faux au moment des fenaisons.
Que faire de tous ces cailloux ? L’habitude était de venir les déposer sur la limite de la parcelle… Comme le voisin faisait de même, les champs se sont trouvés délimités par des amas de cailloux que l’on appelait des « murgers ».
La coutume voulait que la limite exacte se trouve sur l’axe du murger ( ce qui pouvait éventuellement s’y développer :les arbres , les arbustes et leurs fruits n’étant ainsi pas dans l’indivision).
Un partage « Nature »…
Juste!
Un retour en arrière pour moi… Merci de partager mon ami poète…
Bisous essaim à partager entre petite rêveuse bleue, toi et ta moitié.
PS A propos, qu’en est-il de ton autre moitié ?
Ma moitié continue de me supporter…
Elle a SES activités : lecture (tous domaines: personnelle, en club de lecture, lecture aux petits en temps de classe)
Marche : randos avec un club
Avec notre chienne (8/10 km par jour)
Elle s’adonne à son défaut favori: nettoyer (comme si, quand la sécurité n’est pas menacée….)
Elle va à la piscine (je ne suis pas jaloux des maîtres-nageurs)
Il y a peu, elle allait en plus au taïchi
Elle faisait du roller… Et du patin à glace (2 cols du fémur cassés!!)
bisous au revoir