C’était en effet le bouc, qui, sentant ces individus malodorants leur avait foncé dessus.
Tant bien que mal Paul réussit à l’attraper par une corne et à l’entraîner dans la grange. Les autres restaient un peu éberlués : Maurice, bousculé au sol se trouvait couvert de purin, Julien se tenait les fesses tuméfiées par le coup de boutoir. Ils hésitèrent un moment, mais, puisqu’ils étaient là… Autant chercher la cave ! Ils poussèrent la porte du couloir qui conduisait à la cuisine et à la cave, sans ménagement et en poussant des vociférations contre cette bête malfaisante.
Dans son gros sommeil d’ivrogne, Jules perçut des bruits bizarres. Il croyait d’abord rêver, cependant, quand la porte du couloir grinça, il sut qu’il était cambriolé. Il saisit le gourdin qu’il gardait toujours à la tête de son lit pour chasser les rats qui s’aventuraient parfois dans la chambre : certes, il avait ben caché les liasses de billets, mais, à l’époque de la guerre, on avait su comment ces malfrats qu’on appelait des « chauffeurs » obligeaient les gens à dévoiler où se cachait leur magot (avec le tisonnier qu’ils faisaient rougir dans le feu, ils leur caressaient la plante des pieds). Il pensa : « heureusement, le feu est éteint ».Il s’approcha de l’escalier, trébucha, et dégringola jusqu’au sol de la cuisine, où il s’étala, couvert de sang.
Avant de s’évanouir, il eut le temps de crier : « Paul !? Mais qu’est-ce que tu fais-là ? »
Il y eut un moment de flottement : fuir ou … Mais Julien, pompier bénévole ne laissa le temps à personne de réagir : il plaça le blessé sur le côté comme on le lui avait appris et partit en courant jusqu’au premier téléphone public afin d’appeler ses collègues.
Paul eut bien du mal à expliquer ce qu’ils faisaient là…
On jasa bien un peu dans le village, mais comme Jules, ayant finalement retrouvé ses esprits, ne voulait pas déposer de plainte contre son neveu… Il n’y eut pas de suite judiciaire…
Sauf que, lorsqu’il rédigea son testament, il oublia qu’il avait eu, un jour, un neveu appelé Paul.
Dans l’interet venal
Point de sentiments
Un vent niais
De la betise humaine
La richesse est en Coeur
Dans un ecrin d’Amour
Tendre la main a la Vie…
Est-ce si ardu ?…
Nul ne sait
Ce qu’au bout du tunbel sommeille.
Douce nuit Poete
J’aime te lire
Tu es Vie…
Bisouspardum d’etoile…pour brider tes reves
Tu me donnes bien de l’importance. Je n’en mérite sûrement pas autant.
Mais tes mots me sont doux comme des zéphyrs.
bisous enivrés.
Je ne suis plus tout à fait dans le noir j’ai été connecté à un autre central , si j’ai le téléphone , ma ligne internet est très faible , difficile de charger une image …
En attendant que tout rentre je publie quelques poèmes et j’essaie de passer vous voir…
Douce journée
@+
timilo
Patience! Tout finira par rentrer danl’ordre. Bonne journée.
Coucou soleil
Brise jolie
Bleu ciel
Chanson de Vie
Douce journee Poete
Bisous sourire
C’est un grand soleil
Quand tu te réveilles
Le chant
Je l’entends
Vive la vie
Douce journée à toi aussi.
et la bouteille il l’oublia depuis ce soir là ?
Dernière publication sur Victoryne Moqkeuz Eructeuse : Tu seras l'élite mon fils
A la maison de retraite, ce sera plus compliqué!
Une histoire qui finit plutôt bien…enfin cela dépend du côté où l’on se trouve !!! Belle fin de journée Gérard…Bises
Elle est là pour dire que des conneries de jeunes, il y en a toujours eu.
Aujourd’hui, au lieu de prendre un gourdin il prendrait un fusil et la fin serait moins paisible.