Il faisait gris ce dimanche, journée en plus d’élections. Pas question d’aller trop loin, pas l’esprit à bien sourire. Tiens ! Il paraît qu’à Voiron, c’est le festival du cinéma italien… Pourquoi pas ? Il y a longtemps que nous n’y sommes pas allés… Au menu, pour la soirée, il y avait « Bons à rien »
Synopsis et détails
Combien d’injustices doit encore subir le pauvre Gianni ? De ses collègues de bureau, à son infecte voisine, jusqu’aux exigences impossibles de son ex-femme, les brimades qu’il vit au quotidien sont infinies. Il faudrait se mettre en colère et apprendre à se faire respecter, mais comment fait-on ?
Tout comme une catastrophe, une mort, un accident, le film s’ouvre sur une ambiance de crainte et de désolation.
Le héros va ainsi apprendre que sa retraite prochaine est repoussée, et pour compléter l’affaire qu’il est muté en banlieue…
Aussitôt voilà les rapaces qui se ruent sur leur proie : sa fille, sa femme qui convoitent son immense appartement où il faisait les délices d’une méchante voisine qui ne manquait pas une seule fois de lui tenir des propos venimeux.
L’arrivée dans sa nouvelle place : un building de grand standing n’est pas sous de bons auspices : ce qu’on va lui demander est si loin de ses compétences qu’il devra quémander de l’aide…
Au bout de quelque temps, il découvre que la méchanceté paye…Et que la bonne volonté figurée par un collègue est surexploitée. Tirant les conséquences de cette (horrible) découverte, il va se mettre au service personnel de la directrice : café, croissants et promenade du chien.
Dans cette grande institution, on voit que pratiquement personne ne travaille parce qu’on n’y emploie que des gens « dépassés », ou des parasites.
Le film peut-être dénonce l’incapacité d’adaptation de gens ancrés dans des routines anciennes à des méthodes actuelles… A moins qu’il ne s’agisse d’une caricature de l’Administration…
Un passe-temps…
Oh la la!
La Vie est patatra
Monde surfait
Page effeuillee
Cafe au regret
Un sourire fige
Des yeux bagarre
Mais pourquoi ne Vivre
Que de fracas?
Je prend mon reve
Sous mon bras engourdi
Et save la treve
Au jardin public
Vol d’Instants
Mes prunelles voyagent
La, sur l’ile Bonheur…
Belle et douce journee Poete
Bisous bisous bisous
Merci reveuse bleue pour ce magnifique poème
Douce journée à toi
Bisous.
Il est des réalités qui nous dépassent…Mais cela résume bien un état de faits !!! Belle journée Gérard…Bises
Tu as raison.
Bonne journée à toi
Bises