C’est un vrai feuilleton,
C’est une vraie romance
Mes ânes c’est trop con
Négligent leur pitance
Pour s’en aller courir
Au loin la prétentaine.
Et pour découvrir
Où se trouvent leurs fredaines
Il me faut arpenter
Les routes et les sentiers
Explorer les prés
Les bosquets, les fourrés.
Heureusement pour moi
Qu’une âme charitable
Les trouvant seuls, ma foi
Les mit dans son étable.
Pas de bœuf pas de crèche
Pas de poupon non plus
Leur hihan a vendu
De leur présence la mèche.
Ils ne sont pas si ânes que cela !
Pourquoi n’auraient ils pas le droit de faire l’école buissonnière ?
Serais tu jaloux ?
C’est peut être là que le bât blesse.
Oh! ils sont contents!
Mais je crains toujours qu’ils ne crèent un accident.
On en rit…Après!
Poème plein de fraicheur j’aime beaucoup, bises Jacqueline
Dernière publication sur Binicaise : Blog en pause pour une durée indéterminée.
Heureux qu’il te plaise.
Bonne soirée à toi
bises