Il suffit d’un dîner
Pour que les langues fourchent
Par l’élan emportées
Hors d’hypocrisie louche.
Vomis qui je déteste
Et tu seras parfaite.
On se laisse pousser
Dans le vague à l’âme,
Plus que réalité
On étale fantasme,
Et sur cette lancée
On fait des amalgames.
Qui n’a pas, hélas, connu ce genre de situation ????
Pas facile de s’en remettre et de poursuivre comme si de rien n’était ..
Bonne journée à toi.
Merci pour ton commentaire qui m’a donné une petite lueur d’espoir … Placébo et volonté devraient lui laisser un peu de répit … et d’espoir …
Tân
Dernière publication sur chroniques variées : la nouvelle arche de Noé
Ne voir et n’entendre
Que les notes de coeur
Le parfum se decline
Mais ses etapes peuvent tricher
Doux bisous Poete
Encore un beau poème, rêveuse bleue, merci
douce soirée à toi
bisous
@ Tân:gardez espoir!
courage!