J’ai choisi le radotage,
Ce discours des vieux gâteux
Pour emmener comme à l’abordage
Petits-enfants nièces et neveux.
Plutôt qu’imposer mes histoires
Tranches sans raison et sans suite
Les ai écrites comme mémoire
Sur ce blog à la va-vite,
Avant sénilité totale,
Sans trop toujours me répéter,
Avec cette idée fatale
D’œuvrer pour Ma postérité.
Alors, sur des airs de refrains
J’ai déposé chaque matin
Ce dont j’aurais, en autre façon
Farci les oreilles de filles et garçons ;
Sans en faire source de rengaine
Des courses à la prétentaine
Loué déesses demoiselles
Sur des airs de ritournelles ;
Craché parfois avec dédain
Sur des politiques …(mals)ains.
Pas envie à travers cela
De leur indiquer un chemin
En tous cas pas par blablabla
Mais de figer un court instant
Dans un infime document
Images à travers mes yeux
De ce que fut la vie du vieux.
Douce melodie
Que les mots dessines
Ici et la
Au gre d’un clin d’oei
Ou d’une emprise a la revolte
Laisser les papillons s’envoler
Sur un chemin de liberte
Car la parole est libre
Au Poete reveur…
Douce nuit Poete
Bisous etoiles
merci pour le poème, je vais m’endormir au milieu des étoiles que tu fais ainsi scintiller.
Douce nuit à toi
bisous
Suivez donc votre chemin, pour les raisons qui vous sont propres, sans rendre de compte à personne. La « liberté », un beau mot, tout de même….
D’autant plus quand on sent bien qu’il ne sera plus long…