Il paraissait fort comme un chêne
Rien ne semblait le secouer
Comme sur le pont capitaine
Face aux roulis, inébranlé.
Toujours prêt à prêter main-forte
A conseiller au besoin
Son aide n’était pas lettre morte
Il savait comment prendre soin.
Du bien des autres, trop occupé ,
De la perdition de sa moitié,
Dur au mal, n’a pas détecté
Le crabe qui venait le ronger .
Il a suffi de quelques semaines
Pour qu’il s’écroule comme un bloc
Laissant ses amis dans la peine
On le voyait tant comme un roc !
Je trouve toujours tes poésies aussi rafraîchissantes. Merci
Dernière publication sur Rougepolar : The end
merci du compliment.
Vous me faites peur! Je dis toujours ça de mon mari…. Malheureusement, en ce domaine, nous sommes tous aussi vulnérables les uns que les autres.
J’espère seulement que votre ami est parti sans trop souffrir (mais hélas, dans la circonstance, je crains bien que non).
Ce ne sont pas des départs sereins.
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