Elle était au milieu des fleurs
Comme un soleil resplendissant
De son visage la pâleur
Soulignait le feu ardent
De ses cheveux qui ruisselaient
Sur ses épaules, nonchalamment.
L’était jeunette et timide,
Comme elle s’avançait vers moi
Je lui tendis mes bras avides…
Interdite par le geste, ma foi,
Elle s’arrêta brusquement
Juste le temps de lui offrir
Un poème qui me vint sur l’instant…
Pour la suite je laisse ouvrir
Les hypothèses… Evidemment !
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