Toi qui me toisais naguère
Drapée dans toute ta beauté ,
Dans ta richesse altière,
Tes atours échevelés,
Je t’ai vue au cimetière
Sur une tombe fanée :
Ton vaillant cavalier d’hier
Depuis longtemps est passé
Et toi qui étais si fière
Tu pleurais comme un bébé.
Tes appas sont en gruyère
Pleins de trous et tout ridés
Tu ne te soignes plus guère
Rien ne reste de ta beauté.
Ah ! La grande différence
Que tu voyais entre nous
Grâce à notre décadence
Aujourd’hui, elle est bien floue !
Les apparences sont vont
Fanees d’avoir brille
Reste ce qui est l’ombre
Sur un faux-semblant brise…
Belle journee Poete
merci! bises
S’en vont…
La Fortune se charge de nous faire comprendre qu’elle décide pour nous, et le Destin est souvent très ironique
Tu as raison.
J’ai pour demain un autre exemple.
Merci pour ta contribution.
comme quoi le statut social ne préserve pas des mauvaises choses de la vie…
Dernière publication sur Roseoucactus : être authentique...
Eh! Non! Les choses évoluent…