Une rencontre

Leurrés par un renseignement erroné du « dauphiné libéré », nous sommes allés au cinéma voir un film qui n’était pas projeté à ce moment-là…
Après avoir fait quarante kilomètres, nous avons préféré changer notre choix initial pour « une rencontre » avec Sophie Marceau et François Cluzet.
Nous n’avions pas lu les critiques méprisantes de « mon ciné », donc notre regard était vierge pour apprécier une histoire romantique .
Contrairement à ce que dit cette critique, je n’ai pas un seul instant noté que « l’écrivaine » cherchait à défendre la langue française, j’ai plutôt vu des façons de vivre, des relations très conformes à ce que l’on raconte des traditions autour de l’édition…
S’il y a des néologismes, issus de « la parlure adolescente », rappelons-nous qu’une langue qui n’évolue plus meurt….C’est vrai que j’ai en rentrant questionné des ados pour connaître le sens exact de « boloss »
« L’échange entre deux acnéïques sans but dans la salle d’attente de Body Minute » qu’a vu l’auteur de la critique, n’est peut-être pas l’émanation d’un Platon du vingt et unième siècle, mais c’est un film agréable.
Quant à « l’incitation à l’infidélité », elle se résume dans la phrase prononcée par Pierre (François Cluzet)
« Le héros, de nos jours, ce n’est pas celui qui quitte sa femme, mais qui reste avec elle »

Allez ! Bon ! Je radote !

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