J’ai revisité Corneille et Brassens réécouté

Dans Corneille me suis replongé
Et Brassens ai réécouté….

Tu étais ma petite source
Ma lumière, ma grande ourse,
Mon soleil, ma déesse,
Et le dimanche un jour de liesse ,
Mais hélas j’ai pu comprendre
Que mes ardeurs à t’attendre
Comme un lourd harcèlement
Pouvaient te peser durement…

Je te voulais rayonnante
Heureuse dans l’apogée
D’un bonheur qui t’enchante
Sans une ombre déplorée.
Sont-ce mes phrases caressantes
Qui manquent pour t’égayer ?
Pourrais-tu sans que tu mentes
Délivrée t’affirmer ?
Je te vois à la dérobée
Dans ton travail absorbée
Mais je ne vois plus ton sourire
Sur ton visage on ne peut lire
Que tu es dans félicité
Et ton regard est fermé.

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