Le huit décembre est une date
De grande commémoration
Non des lumières comme la vulgate
L’affirme avec prétention.
J’ai découvert dans la ville de VIENNE
Vienne Isère je m’entends
Cette tradition très ancienne
De mettre régulièrement
Sur les rebords des fenêtres
Des lumignons nuitamment.
Cette habitude séculaire
Que LYON a copiée bêtement
Fut initiée par l’église
Dans un élan de remerciement
Car la peste ne l’avait pas prise.
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Archive pour décembre 2013
Fête des lumières(?)
Samedi 7 décembre 2013Rien n’est simple
Jeudi 5 décembre 2013Quand ma moitié est venue partager ma vie, il y a plus de 45 ans, elle venait d’une famille dans laquelle « il ne fallait pas toucher aux casseroles ».
Si elle avait en catimini appris quelques bribes de pâtisserie,la cuisine, elle ne connaissait guère.
Je sortais d’une famille dont la mère, malade, était surchargée par les vieux et/ou malades de la maison… Ma part « féminine » était plutôt développée…J’avais donc, de fait, le pouvoir sur la maison, puisque j’avais appris les rudiments de la préparation des repas.
De plus, mon épouse travaillait loin et moi, à côté. Tout était bon pour que rien ne change…Sauf que, l’imbécile tradition de répartition des rôles issue du temps des grottes développait en ma compagne un véritable complexe de culpabilité…
Rien n’est simple dans la vie de couple !
Le fil de l’étendage
Jeudi 5 décembre 2013Il est un lieu subtil où, en tapinois, on peut découvrir l’étendue de la volonté de pouvoir féminin : le fil de l’étendage.
Il y a très longtemps, nous venions d’avoir la joie d’être grands parents pour la troisième fois. Nous étions allés chez nos enfants (fils et bru). Soucieux de peser le moins possible et d’aider au maximum, je me mets en devoir d’étendre le linge sorti de la machine…Je cherche…Pas de pinces à linge ! Qu’à cela ne tienne, le supermarché est à côté, je vais en acheter une douzaine…J’étends…Au bout d’un moment, je vois ma bru à l’étendage en train de refaire ce que je venais de faire… Et d’ôter toutes les pinces…Je m’inquiète : « c’est que les pinces écrasent les fils et laisseront une trace » ( ???)Jusque-là, manie de quelqu’un, bof !
Mais un jour qu’une mienne parente parlait de sa belle-mère (pas en bien !) je l’entends énoncer son principal grief : « elle m’a gâté une série de tshirt en les tirant trop sur l’étendage »
C’est ainsi que j’ai réalisé à quel point cet objet insignifiant peut être, pour certaines femmes, un lieu de prise de pouvoir.
A C. D.
Mercredi 4 décembre 2013Les aiguilles du temps
Qui jamais ne se reposent
D’une gentille enfant
Ont fait métamorphose.
Tu entres maintenant
Au trône des déesses
Dont les chevaliers blancs
Vont quérir la tendresse .
J’arrêterai là ce vil argumentaire
Pour te souhaiter… un bon anniversaire.
Prostate
Mercredi 4 décembre 2013Qu’est-ce que ça peut bien foutre
Aux fouilleurs de poubelle
Que V. soit privée de sa ration de foutre
Ou que F. n’arrose plus jamais sa nacelle.
Que comme disait Mitterrand
Maintenant,il ne tire qu’à blanc
Que comme disait De Gaulle
Il ne puisse plus se reproduire
Sa fonction n’est celle
D’un trop vieil étalon qu’il faut alors détruire.
C’est reparti!
Mardi 3 décembre 2013Ca y est ! c’est reparti ! Le fameux classement PISA va donner lieu à tous les débordements des refoulés qui ont des comptes à régler avec l’(leur) école.
Pourtant , est-ce si étonnant qu’un convoi tiré à hue et à dia, selon les caprices du charretier du moment, parfois même volontairement détérioré, par idéologie (ces gens qui ne nous aiment pas_ que nous n’aimons pas_) incompétence (n’est-ce pas, monsieur le poseur de radars) sous couvert d’économies de bouts de chandelles, voire même en faisant semblant de largesse (monter le niveau d’accès pour décourager les vocations) arrive tard à l’étape ?
Culte de la personnalité
Lundi 2 décembre 2013Je croyais que c’était fini depuis MAO…
Mais je suis tombé sur un blog à la gloire d’une présentatrice de météo…
Mon Dieu que la France est belle
Qu’il fasse chaud, qu’il fasse froid
Sous la pluie qui ruisselle
Dans la chaleur des plus beaux mois.
Bien la seule est la météo
Sur cette chaîne de télé
A exprimer en stéréo
Une parcelle de vérité.
Celle-ci paraît si étrange
A ceux qui cherchent à nous leurrer
Qu’ils ont bien besoin d’un ange
Pour pouvoir la présenter