Pauvres de nous pauvres bâtards
Toujours trop tôt toujours trop tard
Des secrets nous entourent
Et nous détruisent chaque jour
Cette aura de mystères
Qui sans cesse planent dans l’air
A le goût du malentendu
Pour nous intrus, nous malvenus.
Mais ceux qui nous mettent au ban
Ne valent sûrement pas tripette
Et s’ils embouchent leurs trompettes
C’est pour cacher leur non étant.
Cet article a été posté le Mardi 13 août 2013 à 9:39 et est classé dans Non classé. Vous pouvez suivre les réponses à cet article grâce à ce flux RSS 2.0.
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