Tu rêvais tant qu’on te domine
Qu’on te réduise en esclavage
Sentir des pieds qui te piètinent
N’être plus qu’un vieux pavage.
Tu voulais les coups de badine
Etre attachée comme bétail
Connaître de la vieille Chine
Les raffinements dans les détails.
Crier pour toi était sublime
Le paradis de jouissance
Jusqu’à ce moment ultime
Où on bascule dans la démence.
Tu adorais tous les sévices
Les mille morts,que tu subisses
Les résultats de tous les vices
Qu’il te déféque qu’il te pisse
Dans la bouche ;en crescendo
De vos relations malsaines
Il a parfois mis sous ton dos
Couche d’oursins ou bien d’épines.
On vient de lire dans les journaux
La fin de tous tes supplices
Nul ne te savait maso
Il a fini ton sacrifice.
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