Les chantres de toutes iniquités
Ceux qui font passer
Le fric ou le pouvoir
Au-dessus de l’humanité
Ceux-là vont pouvoir
Respirer :
STEPHANE HESSEL EST DECEDE
Les chantres de toutes iniquités
Ceux qui font passer
Le fric ou le pouvoir
Au-dessus de l’humanité
Ceux-là vont pouvoir
Respirer :
STEPHANE HESSEL EST DECEDE
Il suffit donc d’avoir une voiture « ressemblant » à celle que la police recherche, que son immatriculation « soit proche » de celle du véhicule en question, pour que des individus *qui ne ressemblent pas à des policiers* ouvrent le feu à six reprises parce que vous ne vous êtes pas arrêtée en les voyant ???
Mais quelle est donc la bonne attitude pour une jeune femme si des individus armés cherchent à la faire stopper ??? Sinon appuyer sur le champignon pour leur échapper ???
Les vacances d’été duraient naguère deux mois et demi (14 juillet / 1er octobre) voire plus pour les élèves de douze ans et plus à l’occasion des vendanges.
Il s’agissait, dans une France majoritairement rurale de libérer la petite main d’ouvre gratuite des enfants pour de multiples petits travaux (surveillance des troupeaux, aide à la fenaison et à la moisson dans un contexte où tout était réalisé manuellement)
L’urbanisation progressive de la population, l’interdiction effectivement appliquée du travail des enfants, la mécanisation des travaux agricoles ont fait disparaître cette nécessité. Le coût des colonies de vacances, suite aux exigences de plus en plus nombreuses (animations, formation des encadrements, sécurité…) a fait réduire peu à peu cette durée _14 juillet/20 septembre_
Là-dessus, la mode du tourisme de masse, avec l’augmentation des congés (4, puis 5 semaines) ont figé quelque temps la durée des vacances d’été dans une espèce de consensus.
Le lobby du tourisme, cherchant à étendre ses périodes de pactole, conjugué avec les études des chronobiologistes ont amené à réfléchir sur d’autres répartitions… 7 semaines/2 semaines…
M. PEILLON a bien du courage de s’attaquer au problème : il aura tout le monde contre lui, des gens de bonne foi… et beaucoup d’hypocrites qui cherchent seulement à défendre des intérêts particuliers sans se soucier ni du bien des enfants, ni de l’intérêt supérieur de la nation.
Quel désarroi quand le dimanche
Je ne vois pas derrière sa caisse
La préférée de mes déesses
Je tourne en rond, je me déhanche
Pour voir où elle peut se cacher
Qui l’a changée de lieu de peine,
Son absence pourrait gâcher
Tout mon bonheur de la semaine.
Et quand après avoir erré
Etre sorti bien dépité
Je la retrouve affairée
A vendre les jeux à gratter
Mon deuil en joie laisse éclater
Des cris à tous épater.
Des syndicats de police s’élèvent contre un projet de contrôles inopinés d’alcoolémie et d’usage de stupéfiants chez les policiers…
Le commun des mortels lorsqu’il subit un tel contrôle est-il préalablement averti ?
Est-il choquant de souhaiter qu’une personne détentrice légalement d’une arme dans l’exercice de son métier soit aussi sobre qu’un chauffeur de bus ?
L’argument selon lequel ce projet fait passer les policiers pour des addicts me paraît curieux : qui n’a rien à craindre parce que toujours « nickel » ne peut que souhaiter ce genre de contrôle… NON ?
Quand un de mes petits-enfants
A posé son pied par mégarde
Sous un caillou, sous un gros banc,
Et hurle de douleur qui darde,
D’un bisou un rien magique
Déposé sur le peton
S’en va le bobo maléfique,
Et de ma barbe de barbon
Mille chatouilles hystériques
Je fais surgir pour retrouver
Bonheur de rire et de chanter.
Ferme tes yeux, petit oiseau,
Tu recevras sur ta douleur
Non pas un mais un bateau
De magiques bécots farceurs.
Elle est entrée, clopin-clopant
Fragile comme une orchidée
Elle s’est assise au restaurant
D’une manière décidée.
Jeune énigme, frêle beauté
Seule ce soir dans la cité ?
Je regardais à la dérobée
Ce petit oiseau comme tombé
Trop tôt d’un nid, mal envolé
Dans une soirée esseulée.
Ne voulais pas l’effaroucher
Je me vis pourtant approcher
Juste un poème susurrer.
J’aurais voulu lui murmurer
Bien d’autres mots de guérison
Mais mon dico est en prison
Et ma langue dans l’occasion
Avait d’autres prédilections !
Sont revenues, les tourterelles
Dans les arbres du jardin
Elles roucoulent à tire d’aile
Chaque midi, chaque matin.
Malgré la neige qui s’attarde
Sur le sol alvéolé
Elles s’agitent sans prendre garde
A la buse olé olé
Dont les serres acérées
Rêvent de les dépecer.
Quand au détour d’une gondole
On croise splendide déesse
Le coeur bondit, le cœur s’affole
On se sent porté par la liesse
Et si pour le plus grand bonheur
Elle vous fait don d’un bisou
Le monde alors devient meilleur
Le temps alors devient plus doux
Cela si bon parfois m’arrive
Et j’en suis tout éberlué
Il faut bien sûr que je l’écrive
Tellement j’en suis remué.
A toutes les déesses
Qui ensoleillent ma vieillesse
A toutes les beautés
Qui me laissent rêver
A toutes les fées
Qui m’autorisent à radoter
A toutes celles qui me sourient
Quand je les croise là ou ici
A celles qui me supportent
Sans jamais me mettre à la porte
A celles dont la fraicheur
Est une source de bonheur
A celles qu’infiniment
L’éternel adolescent
Admirera béatement
Je serai reconnaissant !