Ah ! tu craignais sans doute
Que le poète en bout de route
Si tu lui confiait ton mail
Ne vienne ensuite à tire d’aile
Pour t’abreuver chaque journée
De spams, missives enflammées.
Jolie sirène trop discrète
Un peu timide, un peu secrète
Qui te caches vers Laffrey
Tu ne l’as pas dit c’est vrai,
Mais il arrive de temps en temps
Qu’il se regarde honnêtement
Et se rappelle que seize ans
C’était il y a très longtemps.
Tu rayonnes dans ta beauté
Il lutte contre fatalité…
Et te souhaite en amitié
Une vie de félicité.
Cet article a été posté le Jeudi 16 août 2012 à 7:41 et est classé dans Non classé. Vous pouvez suivre les réponses à cet article grâce à ce flux RSS 2.0.
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