La douce odeur du foin,
Chatouille nos narines,
La cuche n’est pas loin
J’approche et je devine
Dans le petit éclair
Qui jaillit de ton œil
L’envie d’œuvre de chair
Le désir de l’accueil.
Dans le doux désordre
Des fétus égarés
Ta bouche veut mordre
Ma langue caresser
Des lambeaux de tissu
Se mêlant au décor
Venus d’on ne sait plus
Ont déserté nos corps.
Le soleil caressant
Caméra érotique
S’attarde par instants
Comme un voyeur lubrique….
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