Quand tes lèvres douces
Jolie oréade
Délaissent ton pouce
Pour un gros gland fade
Le chêne se déhanche
Rebondi d’orgueil
Pour tendre sa branche
A ce chaud accueil
La sève qui monte
Du gros tronc sans âge
Se répand sans honte
Sur ton beau visage
Le sabbat commence
A bas la décence :
Dans la forêt dense
Rien n’a d’importance.
Cet article a été posté le Samedi 11 août 2012 à 9:03 et est classé dans Non classé. Vous pouvez suivre les réponses à cet article grâce à ce flux RSS 2.0.
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