Ton pied mouillé, je m’en empare
Pour un massage vigoureux
Mais j’aperçois dans ton regard
Comme un feu langoureux
De tout ton corps qui s’égare
Surgit un parfum voluptueux
Tu ouvres la voie de ta gare
Sur des visions venues des cieux
Nul ne sait plus, dans la bagarre
Qui est la jeune qui est le vieux
Dans le désordre sans remparts
Les tissus volent à qui mieux-mieux
Les lèvres rivées à la barre
Les mains glissées dans les cheveux
Les seins dressés comme des dards
La langue attisant tous les feux