J e vis une jolie maman s’avancer timidement. Elle me demanda mon nom et déclina le sien.
Avant qu’elle pût faire un geste, je la couvris de baisers : trente ans plus tôt elle était une jolie petite fille toujours souriante et gentille dans une école où j’ai laissé « ma peau »
Cf 16 mai 2011
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