Le pied dans l’eau…

Ton pied mouillé, je m’en empare

Pour un massage vigoureux

Mais j’aperçois dans ton regard

Comme un feu langoureux

De tout ton corps qui s’égare

Surgit un parfum voluptueux

Tu ouvres la voie de ta gare

Sur des visions venues des cieux

Nul ne sait plus, dans la bagarre

Qui est la jeune qui est le vieux

Dans le désordre sans remparts

Les tissus volent à qui mieux-mieux

Les lèvres rivées à la barre

Les mains glissées dans les cheveux

 Les seins dressés comme des dards

La langue attisant tous les feux

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