Tu as grandi, jolie poupée
Que j’aimais tant cajoler
Mais tu as toujours gardé
Un regard qui fait vibrer
Tes petits membres potelés
Sont devenus des bras d’enfant
Puis des cannes de jolie pépée
Et ton corps en grandissant
A fait surgir deux jolis seins
Plus rien ne sera comme avant :
Tu es partie vers tes desseins
Mon dos s’est chargé des ans.
Lors, je te vois resplendissante
Encore plus belle que naguère
Au bras du garçon qui te hante
Pour qui tu traverserais la mer
En avion, bateau, à la nage.
Je rêve un peu aux anciens jours
Où tu n’étais pas dans la cage
De l’amour !
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