Divine étreinte

Nous étions partis

Pour  nocturne spectacle

La faim ayant prédit

Son implorant oracle

Nous fîmes une halte

Dans un gai restaurant.

La chance, en fée qui gâte,

A côté d’une enfant,

Un bébé de trois mois

Aux belles joues bien roses,

Au divin minois,

Frais comme une rose,

Nous installa.

 Je le couvais d’un œil câlin

Ses parents étaient sympas

De bien charmants voisins.

Le petit être restait blotti

Au fond de son landau .

Après avoir souri ,

J’eus droit à un cadeau :

La maman me permit

De prendre en un élan

Son beau bébé chéri…

Et moi, le cœur au firmament,

Je serrai dans mes bras

La DEESSE GAIA !

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