Merci aux « grands du rire »

 

 

Entendre, aujourd’hui, Nana Mouskouri chanter la liberté à une époque où, à la demande de l’Allemagne, docilement approuvée par les autres pays, les technocrates, serviles esclaves des financiers ont mis son pays sous tutelle, je ne peux pas croire à une coïncidence.

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