Angoissant!

Depuis toujours, le capitalisme, lorsqu’il est arrivé au bout du bout de son dogmatisme, trouve pour se refaire une santé, la formule idéale : LA GUERRE.

Acculer la Grèce comme on vient de le faire risque d’être l’étincelle qui allume l’incendie, mais supposons que la provocation ne réussisse pas à déclencher cette fin en soi d’un système humainement perverti, ce sera demain le tour d’autres pays jusqu’à l’explosion qui relancera une activité forte, celle qui remplit les cimetières et les poches des fabricants d’engins de mort, celle qui donne, à ceux qui restent, du travail pour relever leur pays dans les larmes de la dévastation.

Sauf que, cette fois, il risque de ne rester personne!

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