Il est au pied du Galibier
Un village savoyard
Qui chaque année en janvier
Laisse une grande place à l’art
Art fugitif, éphémère
A la merci des éléments
Puisque plutôt que de la pierre
On sculpte dans le tourment
La glace vive comme cristal,
La neige lourde et gelée
Pour faire jaillir au fond du val
Purs éclats de la beauté
Et lorsque sur ses pentes raides
Evolue la douce fée
Qui me hante et m’obsède
C’est le paradis rêvé !
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