L’étable chez nous était un local allongé qui comportait de chaque côté un terre plein surélevé. Le milieu était prévu pour recevoir le fumier : cela faisait comme un grand fossé de plus d’un mètre de largeur et de quarante centimètres de profondeur : le terret. Les périodes d’hiver, quand on ne pouvait pas sortir, il fallait bien que sans déborder, les excréments puissent rester. Sept bovins du grand côté étaient dans des cases groupés par deux, et une seule près du cheval. Dans la réserve de paille pour la journée ou un peu plus, on attachait parfois la chienne si elle était en rut. A l’opposé, étaient attachés, les petits veaux, les génissons, les deux chèvres et le taureau. Au fond dans une cage, le cochon s’engraissait. Au plafond pour la nuit, les poules allaient se coucher dans un poulailler à claire-voie. Il y avait un bassin de bois rempli seulement en hiver Et une cage pour les canards (deux canes et un mâle).Quand il faisait très froid dehors, à l’étable, une douce chaleur vous entourait…Et tant pis pour les nez fragiles, c’était un lieu de discussion.
Cet article a été posté le Mercredi 1 février 2012 à 8:56 et est classé dans Non classé. Vous pouvez suivre les réponses à cet article grâce à ce flux RSS 2.0.
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