Lorsque j’ai eu douze ans
Je reçus de mon parrain
Un beau billet de cent francs
Fut confisqué le lendemain
C’était injuste me dit-on
Que je sois seul à recevoir
Et je vis le bifton
Se glisser dans le tiroir
Je n’étais pas vraiment content
L’était pépé de trois enfants
Mais parrain de moi seulement
On prétendit dorénavant
Que j’étais trop près de mes sous
Que je serais un vieux grigou…
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