Ah ! le plaisir du pique-nique ! Aller au loin porter son faix de nourriture et de couverts, s’asseoir par terre au lieu d’un bon siège à bonne hauteur, disputer sa pitance aux fourmis, manger froid et frugal, et, pour compléter la joie, remporter ses détritus…
Pour moi ce genre de plaisir (masochiste) ne peut se concevoir que dans le cas d’un chantier, s’il est moins pénible de « casse-croûter » que de rentrer au foyer.
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