Archive pour mai 2011

crimes à Velebeau (suite)

Samedi 28 mai 2011

Martin est commandant de brigade à Velebeau   

Un homme a été tué dans son secteur… et on a retrouvé la voiture d’un inspecteur de l’Education Nationale dans un gouffre L’enquête s’annonce épineuse. L’inspecteur Hamelin a été dépêché pour l’enquête   

Pendant que l’inspecteur poursuit ailleurs ses investigations, Martin échafaude des hypothèses : il a trouvé un vieux manche cassé sur le lieu du crime…et Mathurin a parlé d’un merlin au manche cassé… 

 Martin prit le merlin et l’examina :le manche cassé aurait pu lui convenir. A toutes fins utiles, il décida de confisquer l’instrument . Il se doutait bien qu’après un passage au feu et un aiguisage, si quelque trace de sang pouvait subsister, ce serait un miracle…dans le cas où ce serait l’arme du crime.. .Au moins pourrait –on comparer cet objet et le débris trouvé. 

Mathurin protesta qu’il en avait besoin pour fendre son bois. 

 

 « Le manche est neuf, comment avez-vous fait pour casser un manche aussi solide ? 

–Oh ! ça ! c’est pas difficile ! Il suffit que le bois bouge un peu au moment où vous cognez, et, au lieu de le fendre, le manche vient taper à la place du fer , et crac ! ça vous le casse net. 

–Et qu’avez-vous fait du manche cassé ? 

–Je l’ai brûlé, tiens ! A quoi croyez-vous que puisse servir un manche cassé ? 

–Et si je vous montrais un manche de hache tout éraflé sur sa longueur, vous auriez une idée de ce qui a pu lui arriver ? 

–Il a pu se passer plein de choses, mais je dirais que c’est parce qu’on a fendu du bois en longueur, avec des coins. Dans ce cas, on plante la hache, puis on glisse le coin juste derrière ce qui fait que parfois le rebord du coin vient frotter contre le manche de la hache, ou, même, on  

le touche avec la masse en enfonçant le coin…ou bien, votre manche a touché le câble d’un treuil…Il peut y avoir une multitude de raisons, mais, en général, on laisse pas les éraflures sur le manche, on ponce vite, parce qu’on s’écorche les doigts en manipulant un manche abîmé. 

Quand Hamelin vit le merlin, il ressentit cette sensation que le limier connaissait bien : l’intuition d’avoir sous les yeux un indice capital. Cet outil pouvait être l’arme du crime !  

Mais qui pouvait avoir assez de force pour réduire en lambeaux de ferraille une portière de Volvo avec une hache ? 

coeur flambé aux fantasmes

Samedi 28 mai 2011

  

Prenez un cœur 

Mort de préfèrence 

Approchez en douceur 

De sa désespérance 

Vision d’EDEN terrestre 

Une étoile qui luit 

Au milieu des ténèbres 

Sans bruit 

 Laissez miracle s’accomplir 

Le cœur doit remuer. 

 Ajoutez pour finir 

Fantasmes bien dosés 

Sentez bondir de joie 

Et jaillir d’allégresse 

Exploser la foi 

Illuminer sans cesse 

Point besoin d’amadou 

Servez-vous ! 

crimes à Velebeau (suite)

Vendredi 27 mai 2011

Martin est commandant de brigade à Velebeau  

Un homme a été tué dans son secteur… et on a retrouvé la voiture d’un inspecteur de l’Education Nationale dans un gouffre L’enquête s’annonce épineuse. L’inspecteur Hamelin a été dépêché pour l’enquête  

Pendant que l’inspecteur poursuit ailleurs ses investigations, Martin échafaude des hypothèses 

Martin, en revoyant ce manche se rappela soudain cette discussion de Mathurin Gamet. De quoi parlait-il déjà ? Ah ! oui ! d’un merlin ! Martin n’y avait pas tout de suite prêté attention : pour lui, un merlin était cet instrument utilisé pour assommer les bœufs à l’abattoir…Et s’il allait fouiller par là ? 

Il vint donc voir Mathurin. 

« Vous parliez d’un merlin, l’autre jour, pourtant, vous n’abattez pas vous-même vos bêtes, vous savez que c’est interdit, alors expliquez moi donc  à quoi vous sert cet engin. »Martin vit que Mélanie pâlissait. 

Mathurin alla dans le réduit lui chercher une espèce de hache dont le côté non tranchant avait une forme de marteau.  

« C’est un merlin pour fendre le bois. » Le manche en était absolument neuf. Quant à la lame, elle avait été récemment passée au feu et aiguisée sur le tranchant. 

Martin prit le merlin et l’examina :le manche cassé aurait pu lui convenir. A toutes fins utiles, il décida de confisquer l’instrument . Il se doutait bien qu’après un passage au feu et un aiguisage, si quelque trace de sang pouvait subsister, ce serait un miracle…dans le cas où ce serait l’arme du crime.. .Au moins pourrait –on comparer cet objet et le débris trouvé. 

Mathurin protesta qu’il en avait besoin pour fendre son bois. 

  

 « Le manche est neuf, comment avez-vous fait pour casser un manche aussi solide ? 

Hypothèses osées

Vendredi 27 mai 2011

Depuis quelques jours les médias négligent toutes les informations importantes pour ne parler que d’une affaire… 

Hypothèses 

Déclarations, 

Manifestation féministe… contre les déclarations des uns et des autres 

Une thèse accusatrice officielle EPOUSTOUFLANTE 

Il Parait tellement improbable que la thèse officielle ne cache pas autre chose, je vais me permettre aussi d’échafauder des hypothèses 

a)    il est joueur et il a monté lui-même cette histoire pour déboucher sur un non-lieu et éradiquer d’avance toutes les critiques qu’il redoute sur sa relation aux femmes ??? comptant sur une réaction de plébiscite en retour??? 

b)   il s’agit d’une attaque kamikaze d’une musulmane contre un juif(aussi imprévisible dans la forme que le 11 septembre) ??? voilà pour sa crainte d’être attaqué sur sa judéité 

 

c)    Sa candidature en France était crainte par ses concurrents du PS, et par ses adversaires politiques (qui a l’envergure de magouiller un assassinat moral pareil ?) 

 

d)   Sa place est convoitée par quelqu’un de puissant(Qui s’est forgé des relations dans tous les milieux aux US?
Qui n’a pas intérêt à rester en France parce que menacé de cour de justice?
Qui voit une porte de sortie grande ouverte vers un poste prestigieux?
Qui a le premier eu vent d’une affaire qui secoue le monde entier?
Opportunisme?
Coïncidences!!!? évidemment!)
A QUI PROFITE LE CRIME ? 

tortionnaires…

Vendredi 27 mai 2011

Les tortionnaires à l’âme tranquille 

Il existe des médecins qui, au nom de leurs croyances, alors qu’ils ont détecté sur un fœtus de graves anomalies, n’informent les futurs parents que de manière énigmatique. Ainsi , leur conception de « la vie est sacrée  » sera par ignorance respectée par des gens qui ne partagent pas leurs conceptions… 

Grâce à eux, des bébés qui n’ont statistiquement aucune chance de vivre plus que quelques semaines, vont souffrir et subir des soins pénibles à ,chaque instant de leur infime existence… oh ! bien sûr ! ils gardent l’esprit tranquille : ce n’est pas de la torture active, ils laissent à Dieu ou à la nature le soin de faire souffrir ! 

Un peu de courage de leur part consisterait à avertir les parents préalablement à tout acte qu’ils considèrent que toute vie étant sacrée, ils se garderont de prévenir d’une anomalie fut-elle fatale. 

 

Bien entendu, je parle ici des cas ne laissant aucune chance de survie, et je respecte la décision des familles qui ont été dument informées. 

crimes à Velebeau (suite)

Jeudi 26 mai 2011

 

Martin est commandant de brigade à Velebeau   

Un homme a été tué dans son secteur… et on a retrouvé la voiture d’un inspecteur de l’Education Nationale dans un gouffre L’enquête s’annonce épineuse. L’inspecteur Hamelin a été dépêché pour l’enquête   

Pendant que l’inspecteur poursuit ailleurs ses investigations, Martin échafaude des hypothèses… 

Par acquis de conscience, il demanda si quelqu’un avait téléphoné de l’hôtel ce soir-là…personne ! 

Tout à coup, la lumière jaillit dans son cerveau : la serviette ! Il n’y avait pas de serviette dans la voiture ! Elle avait pu être abandonnée dans une chambre d’hôtel, chambre qui  devait toujours attendre son locataire. 

L’appel à témoin publié dans le journal n’avait rien donné dans un premier temps. Mais quand la photo  

du mort fit la une de la presse assortie de son éloge funèbre, un hôtelier de Sassenage  reconnut le client qui avait quitté l’hôtel un soir et n’était plus revenu. Il appela aussitôt la gendarmerie qui transmit le renseignement. 

La serviette était là. Hamelin n’y trouva rien de passionnant : des rapports d’inspection, des numéros de téléphone, rien que de très normal apparemment. La plupart des numéros concernaient des personnalités politiques. Les quelques autres correspondaient à des hôtels où il avait ses habitudes. 

Les sacs d’ordures récupérés sur le chemin de halage ne contenaient que des résidus de pique-nique déjà anciens. Martin ne trouva pas de raison de les conserver. Le vieux manche cassé ne l’intrigua pas non plus : c’était un manche comme tous les manches de hache. Il était cassé près du fer et il était tout éraflé sur une partie de sa longueur. A la réflexion, Hamelin se dit que, peut-être, ces éraflures venaient de la portière déchiquetée. Il fit donc expertiser l’objet. L’expertise ne fut pas chose facile, pourtant, il lui fut répondu que ces éraflures dataient de peu. Hamelin pensa que l’arme du crime ne devait pas être loin. Mais chercher une hache ou une masse dans un pays où chacun coupe et fend son bois…autant chercher une aiguille dans une meule de foin ! 

Martin, en revoyant ce manche se rappela soudain cette discussion de Mathurin Gamet. De quoi parlait-il déjà ? Ah ! oui ! d’un merlin ! Martin n’y avait pas tout de suite prêté attention : pour lui, un merlin était cet instrument utilisé pour assommer les bœufs à l’abattoir…Et s’il allait fouiller par là ? 

 

 

Réminiscences pédagogiques (20) ?

Jeudi 26 mai 2011

 

Les buts de volley 

Je vis un jour arriver le chef des services techniques de la commune : « je vous apporte les buts de volley que vous avez demandé » 

??? Je n’avais jamais demandé ce genre de choses… 

En attendant d’éclaircir le mystère, il fit poser ces poteaux très lourds à plat sur la pelouse. 

Enquête faite, cette demande avait été formulée deux ans plus tôt par mon prédécesseur…Mais poser des engins avec barres transversales à portée de petits enfants qui ne demandent qu’à jouer ! trop tentant ! et les soudures de la barre prévue seulement pour la rigidité n’avaient pas été prévues pour cet usage… CASSE ! lettre fulminante de m. l’adjoint au maire… Après réparation, on voulait poser seulement ces objets lourds et dangereux en cas de basculement sans arrimage dans le sol… Ma connaissance particulière des textes surgit de nouveau pour obliger une fixation conforme. CE FUT TRES MAL PERCU!!! 

Réminiscences pédagogiques (19) ?

Jeudi 26 mai 2011

En moins d’un an, j’avais réussi, en travaillant d’arrache-pied de 4 heures du matin à 7 heures à répertorier et classer les documents pédagogiques collectifs, la liste en était tirée et distribuée à chaque collègue, dans chaque document se trouvait une carte avec trombone à déplacer sur le nom de l’emprunteur. 

crimes à Velebeau (suite)

Mercredi 25 mai 2011

Martin est commandant de brigade à Velebeau   

Un homme a été tué dans son secteur… et on a retrouvé la voiture d’un inspecteur de l’Education Nationale dans un gouffre L’enquête s’annonce épineuse. L’inspecteur Hamelin a été dépêché pour l’enquête   

Pendant que l’inspecteur poursuit ailleurs ses investigations, Martin échafaude des hypothèses…  

 

 

 

Il prit l’annuaire. Pas Olivier Massevache, c’est sûr ! Les vieux Gamet non plus. Germaine Mâtin … Non ! Les jeunes Page…oui…Les Cardin…oui…Mathurin Gamet…oui…Emilien Patel…non. 

Martin reprit sa quête.  

« Est-ce vous qui m’avez appelé ? » La réponse fut négative partout, comme il s’y attendait. Il ne lui restait plus qu’à exiger de la poste l’origine du coup de téléphone…si on l’avait enregistré…mais la réponse serait longue à venir. 

Pour se calmer, il s’arrêta au « bon repos ». Les conversations cessèrent à son entrée, puis, au bout d’un moment, une serveuse s’approcha, minaudant, pour lui servir le café qu’il buvait invariablement. Il se sentait si déprimé que, machinalement, il posa sa main sur le bras potelé. Marie-JO, la serveuse, se méprit aussitôt : 

« Oh ! brigadier ! vous dérogez à vos habitudes ? Vous savez, si vous le vouliez, je pourrais vous en apprendre que vous ne connaissez pas encore ! » 

Martin ne réalisa pas tout de suite quelle était son allusion. Perdu dans ses pensées, il s’entendit répondre : « En apprendre, j’aimerais bien ! ». La fille lui présenta son décolleté pour préciser : « Dans une demie-heure, j’ai fini mon service, attendez-moi » 

Martin espèrait bien trouver une piste. Une heure plus tard, il n’était pas déçu. La fille lui avait, parmi mille propositions qui ne l’intéressaient pas (il était homosexuel) parlé d’un client qui avait toujours une serviette d’où il sortait tout un attirail : il prenait son plaisir en fouettant à la cravache sa partenaire pour la sodomiser ensuite, et, le mieux, finit-elle par dire, c’est que vous le connaissez bien. Martin n’eut pas besoin qu’on lui précise quel était le malade à la cravache. Le rapprochement s’établissait de lui-même. Marie-Jo avait parlé de ces rapports avec une étincelle vicieuse dans les yeux. Cela ne semblait pas lui avoir déplu, sinon pourquoi en aurait-elle parlé ? 

Par acquis de conscience, il demanda si quelqu’un avait téléphoné de l’hôtel ce soir-là…

Réminiscences pédagogiques (19) ?

Mercredi 25 mai 2011

L’harmonisation 

Afin d’éviter les disparités entre classes de même niveau, j’avais demandé, ce qui fut admis assez facilement, qu’une réunion par niveau harmonise de semaine en semaine les objectifs. Dans certains cas, cela débouchait même sur des exercices communs , voire, pour des rattrapages par des regroupements d’élèves. 

12345...8