Et puisque chaque soir
Quand se taisent les feux
Dans le noir du couloir
Je trouve encore tes yeux
Puisque chaque nuit
Invisible fantôme
Ton souvenir me suit
Broie mon cœur et l’embaume…
Puisque chaque soleil
Qui point sur les collines
Répète à mon oreille
Ta splendeur divine…
Que chaque heure écoulée
Loin de ta compagnie
Semble s’effriter
Comme morte à la vie
Que ma vie n’est que toi
Que pour moi, tu es moi
Temps, vie, bonheur
Honneur
Ne pourront arracher
De mon cœur
Qui pleure
La splendide clarté
Que tu m’avais donnée
Etait-elle aussi merveilleuse qu’étoile ?
ce poème a 58 ans….
????
Ne comparons que les choses comparables!
T’as raison