Mon salon, à moi, de l’agriculture (4)

 

Je t’ai vénérée blonde,
Aux cheveux très ras
Je t’ai aimée gironde
Au cou quelque peu gras
J’ai caressé tes flancs
En un délice extrême
Et puis d’un geste lent,
Comme on fait quand on aime
J’ai pincé doucement
Le bout de tes mamelles…
Dans tes yeux, en rêvant,
J’ai vu que tu es celle
Qui demain donnera
Le lait à  mes petits enfants
Si l’idiot de l’INRA
Ne t’assassine pas
O ma VILLARD DE LANS 

Laisser un commentaire